1912
Ce
joyeux conscrit est « bon pour le service ».
Qu'importe
le temps qu'il passera sous les drapeaux.
C'est
un honneur de servir la France.
À
cette époque, un garçon réformé passait aux yeux de tous,
même
de ses proches, pour un être malade, mal conformé
ou
atteint de maladies inavouables.
L'antimilitarisme
de certains n'atténuait en rien cet handicap de la réforme
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